Octobre 2024…

Octobre 2024…

Grand vent d’autan, belles rafales, et il paraît qu’il va souffler de plus en plus fort jusqu’à dimanche… nous avons bien fait de profiter de la magnifique journée d’hier lundi 17 février (2025) pour aller marcher ! Mais donc je vais profiter de ces journées ventées et venteuses pour mettre un peu à jour ces pages d’humeur du jour et balades, retour dans le passé, octobre 2024… et ce 1er octobre débute par une manif…

Ceci posé… octobre nous a réservé de bien belles journées, d’autres un peu moins agréables, et de belles couleurs quel que soit le temps !

Des balades tranquilles, dernières fleurs des champs et derniers papillons, sentiers couverts de feuilles, baies, premières couleurs automnales dans les bois…

Par contre, si certains champs labourés offrent un camaïeu de marron allant du clair au sombre, les tournesols pas encore récoltés sont bien sinistres, même enrubannés de fil de la vierge…

Derniers travaux avant l’hiver… nettoyage du bois autour de la piscine après ramassage des glands… de la terrasse après un orage… du chemin tout enherbé…

Côté architecture, je suis revenue photographier la halle de Grenade, mais aussi lors d’un retour de balade l’église de Galembrun magnifique sous le ciel bleu !

Au jardin, une rose emperlée de pluie, les bergenia fleurissent, sauges et roses rouges pour Ganesh…

Matins brumeux ou couchers de soleil lumineux, un émerveillement de chaque jour !

Même les nuits de pleine lune sont un enchantement !

Lichens et usnées

Si vous êtes adepte de mots croisés, vous connaissez ces mots : lichen, usnée. Ce sont eux qui ornent les haies tout l’hiver, en attendant les fleurs d’aubépines ou les feuillages nouveaux… J’ai fait tout à l’heure un tour de champ (oui, encore 😉 ), le temps ne se prêtant pas trop à une balade plus longue. Et puis Flipelette avait besoin de se dégourdir un peu les pattes !

Pour en revenir aux lichens et usnées, je n’ai pas très bien saisi la différence, l’usnée semblant être de la famille des lichens, mais certains portaient des noms bien amusants, « barbe de Jupiter », « barbe de capucin »… et l’usnée barbue est un lichen médicinal puissant. Jupiter, barbu ou capucin, ce sont les seuls ornements d’hiver des haies, branches et troncs en hiver ! Alors en attendant les fleurs qui ne sauraient tarder, voici ces fleurs d’hiver, blanc crème, grises, parfois dorées ou tirant sur le vert :

Rien à voir avec la mousse qui recouvre les sols en ce moment…

Dans un mois c’est le printemps, et même s’ils restent discrets, les bourgeons se préparent tout doucement…

Septembre

Je profite du retour de la grisaille pour me promener dans mes photos, et dans ce journal d’ici et d’ailleurs. Qu’ai-je fait en septembre ? Toujours pas de grand voyage… pourtant j’aurais bien envie de partir, mais est-ce bien sage ? Alors je profite du jardin, d’une journée « ailleurs » par-ci par-là… Ce mois de septembre 2024 débute par un matin mouillé, mais l’après-midi plus clair, et même ensoleillé, m’a permis de faire un petit tour de champs.

Et puis, la pluie permet de faire de jolies photos des fleurs de cette fin d’été !

J’ai profité d’un rendez-vous à la Mairie pour visiter l’Orangerie du beau parc de Launac, dont la rénovation est presque terminée. Je rêve depuis longtemps de proposer un concert dans cette salle ! Et (avec l’association « Les Arts au Soleil ! ») ce sera peut-être enfin réalisable… De plus, le parc est splendide.

Au jardin, l’acanthe, déplacée, reprend des forces, et la sauge lui tient compagnie. La bourrache s’étale dans tous les coins, une véritable invasion… moi qui souhaitais tellement avoir cette plante, pour le plaisir des abeilles, maintenant je passe mon temps à essayer de la canaliser. Mais il faut avouer que ses petites fleurs bleues sont photogéniques ! Quant aux crocosmias, rapportées de la maison familiale d’Anglet, la floraison est presque terminée.

Une réunion à Toulouse, et une découverte en attendant l’heure, cette maison d’architecte, dans un quartier où je n’allais pas souvent lorsque nous habitions encore Toulouse. Étonnante, entre quelques maisons plus simples, mais finalement sa façade aussi grise que celles qui l’entourent fait qu’on ne la remarque pas trop, pas assez. Renseignements pris, l’architecte, Edmond Auguste Pilette (Armentières 1882-Toulouse 1973), installé à Toulouse après ses études, a réalisé de nombreux bâtiments Art Déco dans cette ville.

Retour bienvenu à la campagne… j’aime beaucoup Toulouse, mais honnêtement, je suis très heureuse de vivre à la campagne ! Une heure en ville de temps en temps me suffit…

Petite série en rose… du rose léger du laurier-rose au rose violet des doigts-de-sorcière, en passant par le bégonia, les belles-de-nuit, le rosier Mozart, la centaurée où les abeilles puisent encore leur pollen…

Découverte, tout à fait par hasard, ou résultat de ma curiosité, lors d’une expo vente à Merville : l’église du village, église Saint Saturnin, à l’étonnant plafond peint.

Et l’automne arriva !

Nous étions à Besançon, pour ces premières journées automnales. Dans le cadre du Festival International de Musique, dont c’était le dernier jour, nous sommes allés écouter un trio piano/violoncelle/clarinette, et retrouvé avec plaisir un ex-collègue de l’ONCT, Jean-François Verdier clarinettiste et chef d’orchestre.

Mais je vous raconterai ces moments Bisontins dans une autre page ! Terminons celle-ci par l’automne dans notre jardin, ses fins de journée aux chaudes couleurs… quand le soleil veut bien se montrer…

Collines, soleil du soir

Collines, soleil du soir

Mercredi, fin d’après-midi, pendant que le garagiste changeait les pneus de la voiture de Guillemette, petit tour vers le côté ouest de Pelleport. Sous le soleil de fin de journée, les champs se transformaient en velours vert… Les haies ne sont pas encore fleuries, mais on devine le printemps tout proche… ah ben oui, tiens, c’est dans 3 jours !

Et hier, la vieille voiture a fait vaillamment la route vers Reims, où Guillemette expose au Salon International d’Art Contemporain. Sur sa page FB (Guillemette Silvand), vous trouverez des invitations pour deux personnes. Si vous êtes dans le coin, ou pas très loin, n’hésitez pas à aller y faire un tour.

Rétrospective…

Rétrospective…

Non, vraiment, je ne suis pas à jour sur les – pourtant rares – balades que j’ai faites en février ! Alors, en avant (ou en arrière toute) pour enfin en finir.

12 février, un dimanche au ciel tout bleu. Je pars vers les bois sur la colline en face, en traversant le champ des voisins. Tout en bas, de l’autre côté de la route, il me semble apercevoir un nouveau chemin. C’est vrai que, ces derniers jours, il y avait des bruits de tronçonneuse. J’essaie, on verra bien où cela me mènera ! Tiens, nous qui cherchions du gui, il n’était pas loin…

Mais voilà, impasse ! Zut, pas envie de faire demi-tour, je finis par trouver un petit fossé pas trop compliqué à passer, et me voilà sur le chemin connu, ouf ! Au bout, c’est le grand chemin installé sur l’ancienne voie de chemin de fer, avec ses tunnels d’arbres, ses bas-côtés verts par endroits (et où, au printemps, on trouve orchis et myosotis), son calme. En contrebas, tout un fouillis de branches, arbres, ronces…

Mais je n’ai pas l’intention d’aller jusqu’à St Pé ou Drudas, je tourne en bordure d’un champ. Et je suis une sente, passage d’animaux certainement, avant de trouver un chemin plus large. Derrière moi les collines vers le Gers, à ma gauche le village de Galembrun, et tout en haut en face, la petite route que je vais prendre sur quelques mètres, avant de replonger dans le petit bois. Arbres emmêlés, genévrier, des champs bien vertes une fois arrivée sur la route. Et même, au fond, une vigne. Il en reste quelques unes, encore…

Et la boucle est bouclée ! par le sentier, je retrouve le chemin du retour vers le champ des voisins, celui où je me poste pour admirer les couchers de soleil. Le long du chemin, jeux de lumières sur les mousses, écorces d’arbres aux multiples dessins, et je ne peux m’empêcher de faire danser les feuilles mortes…

19 février, encore un dimanche ensoleillé ! Cette fois, je pars vers le Marguestaud, notre ruisseau dans la vallée 😉 . Je me demandais comment il allait, avec tout ce manque d’eau. Et il va bien, finalement. Même notre mare ne va pas encore trop mal. Là aussi, j’essaie un chemin… je laisse les moutons à ma droite (ils m’ignorent superbement) et je descends vers le ruisseau, par les champs. En faisant bien attention à marcher sur les bords ! (en réalité, j’ai un peu la flemme de faire demi-tour et remonter 😉 )

Me voilà au bord du Marguestaud. Bruit d’eau qui coule, c’est rassurant. A travers les branches, quelques miroirs. Tout le long, jusqu’au « grand » chemin de randonnée et au gué, le chemin est bien tracé, chevaux, moto-cross aussi je pense, et merci pour le respect des lois qui oblige les agriculteurs à laisser 2 mètres aux abords d’un ruisseau. Bon, d’accord, par moments le chemin devient sentier, mais même si par endroits je « patouille » un peu, j’arrive sans problème au gué.

Beaux dessins géométriques dans le champ près du gué, et je reprends le chemin (balisé, qui va de Galembrun au Burgaud ou à Naples) pour le retour. Si jusque là c’était calme, la remontée cette fois se fait au son des motos-dites-vertes, car un petit terrain de cross est installé dans ce coin. Et en ce dimanche, de vacances scolaires en plus, il y avait quelques adeptes de ce truc-là….. mais bon, on le sait, et au moins avec tout ce bruit on est à peu près sûr de ne pas croiser un sanglier 😉 . Bref, je grimpe le chemin, et à la vieille palombière, je préfère revenir par celui qui longe les champs et le bois plutôt que retrouver la route. Les jonquilles ne sont pas encore ouvertes. Évidemment, presque à l’arrivée je m’arrête comme d’habitude pour admirer les coteaux. Et me voici à Galembrun.

Ce soir-là, j’ai eu droit à un coucher de soleil absolument somptueux !

Et voilà. Vous savez tout sur mes balades de février. Balades campagnardes dont je ne me lasse pas. J’espère que vous non plus, et que vous prenez autant de plaisir à découvrir ma campagne environnante que j’en ai à l’arpenter…

Ciel, des nuages !

Ciel, des nuages !

Je ne suis vraiment pas à jour côté balades, mais je finirai bien par rattraper le temps, miss météo nous promettant du gris et de la neige pour très bientôt ! En tout cas, cet après-midi, c’était beau temps, après 2 ou 3 jours de retour de grisaille et (si peu, hélas)de pluie, alors je suis partie jusqu’au bois de la Pleysse. Pas par le chemin le plus droit, mais depuis que certaines haies et chemins de traverse ont été avalés par quelques agriculteurs du coin, bien obligé de suivre celui qu’ils ont aimablement laissé… et donc en avant par le chemin de La Heppe. Surprise, des biches dans le champ ! Je m’étais arrêtée pour ne pas les effaroucher, mais elles m’ont aperçue et pffuitt ! elles ont traversé le chemin. Regardez bien, on en voit deux sur la deuxième image.

Quand le ciel est de ce bleu magnifique, c’est un régal de photographier les arbres encore nus ! Et ce petit plus apporté par les nuages, mmmmm…

Par contre, je ne sais si Boris Vian était un visionnaire, mais je pense chaque fois à ce titre de livre « l’Herbe rouge » (dont l’histoire n’a d’ailleurs rien à voir avec les champs de ma campagne 😉 ) lorsque à côté d’herbes vertes je vois ces champs non encore ensemencés ou labourés et où l’herbe est devenue rouge. Effet des traitements, pesticides ou autres ?????

Franchement, je trouve ça un peu inquiétant. Bref. Avant d’entrer dans le bois, long chemin entre deux champs, mais où les pâquerettes commencent à bien s’installer. En regardant bien, quelques insectes aussi…

Le petit pont est toujours à sa place. Il faut dire que ces chemins et ce bois sont souvent visités par ces motos qui se disent « vertes »… (je ne vais pas trop rouméguer, car dimanche dernier j’ai été bien contente de trouver un chemin bien marqué par leurs passages, et celui de chevaux 😉 ), donc j’entre dans le bois de la Pleysse, et j’avoue, c’est chaque fois un petit moment de sérénité.

Jeux d’ombres sur les mousses, feuilles sèches, et la quiétude du bois. Miracle, pas de moto-cross quand j’y entre ! (ben oui, ce sont les vacances ici, et jeunes et moins jeunes patrouillent dans le coin…). Premières fleurs d’ajoncs (photo ratée), chants d’oiseaux. Et le coin « des Landes »… des pins le long d’une partie de chemin. Venus là comment ? Dommage, il ne faisait pas assez chaud pour que la résine embaume l’air… mais j’ ❤ arriver sur ce chemin. Que voulez-vous, 10 ans dans les Landes, 10 ans en Basquaisie, le reste à Toulouse et les Hauts Tolosans, de temps en temps j’aime bien retrouver un air d’enfance !

Passage du fossé, retour vers le village et le grand chemin. La plaine à nouveau, avec ses champs verts ou rouges. Les nuages dans le ciel bleu. 17 heures sonnent au clocher, j’aurai mis tout de même deux heures pour faire 7,5 km… mais j’ai pris le temps de respirer, prendre des photos… je ne suis pas prête pour un marathon 😉 !

Premières fleurs dans le prunier sauvage sur le bord de la vieille route… il va falloir que j’aille voir où en sont les jonquilles sauvages, dimanche elles étaient encore bien fermées, et surveiller les aubépines au fond du jardin. Demain. Ou un autre jour !

Tour de ville, tour de champ

Tour de ville, tour de champ

Ce jeudi 16 février, balade sur les boulevards toulousains, en manif de Saint Cyprien à Jean-Jaurès. J’exagère, je ne suis pas allée jusqu’à St Cyprien, j’ai attendu que la manif arrive à Compans… parce que sinon, debout à 7h1/2 du matin, même pas conviction syndicale, c’est difficile 😉 , alors on triche un peu, mais on est dans la manif de bout en bout malgré tout, la tête de manif n’arrivant là que vers 11 heures ! Bref, du monde, encore aujourd’hui. La préfecture annoncera encore une fois un chiffre qu’il faudra multiplier par 3 ou 4, les syndicats un chiffre peut-être un peu plus gros qu’en réalité, mais du monde, il y en avait. Et des jeunes. Et des pas jeunes. Et décidés à continuer. Ensemble.

Retour en début d’après-midi dans ma calme campagne… et, histoire de me remettre en jambes, petit tour de champ avec Flipelette. La pauvre se demande un peu ce qui se passe, car depuis quelque temps nous ne restons pas en place toute une journée ! alors je lui devais bien une balade au soleil 😉

Les abeilles bourdonnent dans le cognassier du Japon, les champs reverdissent, les orchis préparent leur sortie, le ciel est bleu, et nous sommes, Flipelette et moi, seules dans la campagne, au calme.

Et pour une fois, vous aurez droit à une photo « de jour », prise depuis mon coin de prédilection pour les couchers de soleil !

Tour de champ

Tour de champ

En définitive, avec ces températures enfin dignes d’un véritable hiver, Flipelette et moi passons beaucoup de temps dans mon bureau…

D’accord, j’y ai une belle lumière. D’accord, j’ai beaucoup de dossiers à terminer le plus vite possible. D’accord, je me régale de regarder les oiseaux venir picorer les boules de graines. D’accord, c’est le moment ou jamais d’hiberner 😉 . Mais tout de même, surtout quand il fait un aussi beau soleil, il faut en profiter, non ? Alors cet après-midi, hop, petit tour de champ.

Les fleurs du cognassier commencent à se montrer, dans les haies les baies d’églantiers luisent au soleil, quelques arbustes osent sortir deux ou trois feuilles, tout est calme, pourtant il semble que Flipelette n’apprécie pas la balade aussi tranquillement que moi, et marche avec inquiétude, surveillant ses arrières, poils du dos hérissé et queue en panache bien gonflé… peut-être les cris des buses tournant au-dessus des champs l’inquiètent-elle ???

Un dernier coup d’œil avant de rentrer, le ciel est toujours bien bleu, mais la campagne reverdit… et la lumière est magnifique. Belle fin de semaine !

un peu d’air frais

un peu d’air frais

A force de la réclamer, la pluie est arrivée… et bien arrivée pendant ce qui semble déjà trop longtemps… jamais contents ! Mais ce matin, c’était juste du brouillard, et on pouvait espérer que le soleil ne bouderait pas.

Et, superbe, vers 14 heures, le ciel bleu. Il était temps de sortir faire un tour de champ, ma petite marche quand la flemme est là mais que « tout de même il fait beau alors tu vas te bouger un peu »… Et puis Flipelette commence à prendre un peu de poids à passer son temps sur les fauteuils ou sur mon bureau 😉 !

Vers 15 heures, enfin, nous voici dans le champ voisin.

Sous le soleil un peu embrumé les champs verdissants ressemblent à du velours, les gouttes d’eau scintillent sur les baies oranges ou rouges, et les lichens jouent les stars sur les branches sèches des buissons. Tout au fond du champ, alors que nous rentrions, un faisan se dépêchait de se glisser dans les fourrés… j’espère que les voitures garées en bord de champ n’étaient pas des voitures de chasseurs, et qu’il a pu rejoindre sa cache !

Pour terminer l’après-midi (17 heures à peine…), un timide coucher de soleil, sous un ciel hésitant entre le bleu et le gris (histoire de rester dans les tons de ces derniers jours ?), et la brume se réinstalle pour la nuit…

Pâques 2022

Pâques 2022

Même si, en cette fin de lundi de Pâques, c’est un peu tard… belles fêtes pascales !

Petite balade du jour, tranquille. Partie pour une longue marche seule, finalement je me suis retrouvée sur une distance plus courte, et en compagnie de Simone. Une bonne heure tout de même. Départ de la place des Jardins, sur laquelle nous ferons les stages de capoeira cet été pendant le festival Danses et Musiques Pour Tous, les 14, 15 et 16 juillet prochains ( http://www.festivaldansespourtous )

Un peu de route pour arriver au « chemin blanc », entouré de champs, certains verts, d’autres encore « nus », sur lesquels les nuages et le soleil faisaient courir la lumière…

Cachée entre champ et arbres, la vieille maison est toujours fermée. Tout le long du chemin, des fleurs sauvages, pâquerettes, trèfles, boutons d’or et pissenlits mêlés. Sur un mur des fleurs d’ail des ours passe au travers des tuiles et du lierre.

Avant de rentrer à la maison, détour jusqu’au champ voisin pour voir si le réséda avait fleuri… non, toujours en boutons. Flipelette était ravie que je fasse quelques pas avec elle dans sa direction préférée ! Le coucou est revenu, la huppe aussi. Mais là, pour des photos, c’est beaucoup beaucoup plus difficile 😉 !