Petite pause à…

Petite pause à…

… Dijon. Sur la route de Paris à Besançon, une halte repos dans la ville. Bon, c’est pas évident de circuler dans cette ville quand on ne la connait pas du tout… mais finalement, nous avons posé la voiture dans une petite rue qui nous semblait près du centre, parcmétré le temps d’une bonne pause, et en avant ! Tant pis pour les spécialités régionales, dans une rue piétonne un joli petit resto asiatique nous a plu… J’avoue, je ne connaissais pas Dijon. Et c’est bien beau, et plein de superbes maisons, d’Histoire, et tout et tout ! Même si nous n’étions que de passage, nous avons fait un bon petit tour de ville, enfin, du centre .

Nous prendrons peut-être davantage le temps une autre fois… d’autant qu’il faisait très chaud (12 septembre). Nous avons atterri sans le savoir dans la rue de la Chouette, oiseau symbole de la ville, sculptée sur un coin de la cathédrale. Mais des sculptures sur les maisons, sur l’église, il y en a partout… et pas uniquement des chouettes !

Le peu que nous avons découvert de cette ville est vraiment magnifique. Architecture, ruelles, toits vernissés, vieux murs, l’Histoire se rencontre partout dans ce vieux centre…

Nous n’allions pas repartir sans quelques spécialités… surtout que c’était une période de manque pour certain condiment 😉 …

Nous sommes repartis vers Besançon, en laissant derrière nous plein de découvertes à faire dans cette ville. La suite de notre circuit dans l’est sur une prochaine page…

Sur le chemin, l’atelier…

Sur le chemin, l’atelier…

Quand on va de Launac à Galembrun, à pied, pour éviter de trop longtemps marcher sur la route, on commence par longer le lac depuis « la digue », puis le château, des maisons, et on arrive à la base de l’Aviron Launacais.

Là, quelques mètres de route, et on repart sur un chemin au joli nom : chemin de Bazillonne Basse, qui rejoint le bois de La Pleysse dont j’ai souvent parlé sur mes pages. Et si un jour vous passez par ce chemin, vous risquez fort d’entendre quelqu’un marteler la pierre. N’hésitez pas, si le portail est ouvert, arrêtez-vous et allez rencontrer David.

Je ne vais pas vous faire un cours de sculpture, mais juste vous laisser découvrir ce qu’il faisait ce jour-là, et aussi le suivre dans son atelier où il nous a expliqué comment, pourquoi, avec quoi….. Ce jour-là, il sortait de sa gangue de plâtre sa Madona. Une sculpture qui est désormais installée dans le parc d’une Villa quelque part en Italie. Une merveille de douceur, de tendresse, de beauté.

Je me suis permis de « voler » sur les pages FB de David quelques photos de cette Madona, dont je n’ai vu que l’enveloppe 😉 . Dans son atelier, les outils « à l’ancienne » voisinent avec des outils plus actuels, les ébauches de sculptures et les sculptures d’exposition se côtoient, et David vous parle de son métier avec passion.

Voici, « in situ », quelques unes de ses œuvres : la statue de Saint Germaine de Pibrac, une chèvre sur le rond-point de Rocamadour, un buste de Frédéric Prat dans le jardin des poètes de Béziers. Mais il fait aussi des expositions un peu partout, et certaines œuvres sont dans son atelier, en marbre… taillé, lisse, poli, qu’on ne peut s’empêcher de caresser… (j’ai pris ces photos sur ses pages Face Book, avec son autorisation).

Merci, David, pour cette halte très intéressante et enrichissante.

Des liens pour les curieuses et curieux, pour les fans de sculpture, de marbre : https://www.david-leger.com/ ou les pages Face Book : https://www.facebook.com/31sculpteur/ et Sculpteur David Leger.

couleur Toulouse

chapelle des Carmélites

C’est amusant, j’avais pensé ce « cahier d’idées à partager » (c’est plus joli que blog, non ?) articulé surtout autour de Venise. Et en regardant les « tags » (celui-là, je le garde, il me plaît bien), ces sortes d’étiquettes en fin d’article, je vois que Toulouse a davantage la cote… Allons donc à Toulouse encore une fois !

Toulouse et les couleurs… Parce qu’il n’y a pas que la brique qui donne des couleurs à Toulouse, ni les restaurations des beaux immeubles aux balcons désormais bleus (merci, Françoise, pour le rappel !), de tous les bleus. Il y a aussi ses décorations, ses peintures. Celles des églises, dont les murs intérieurs étaient, dit-on, peints de haut en bas, un peu comme la cathédrale d’Albi (joyau s’il en est !). On rencontre d’ailleurs, par-ci par-là, de belles fresques un peu effacées,

dans la rue du Taur une belle entrée de porche, hélas parfois fermée au voyageur curieux, et juste à côté, rue du Périgord, la magnifique chapelle des Carmélites (encore beaucoup de bleus…),

des salles superbes au Capitole, salles qu’il ne faut pas manquer d’aller visiter, l’Histoire de Toulouse comme un livre d’art sur les murs,

au hasard des rues de ce « vieux » Toulouse, près de la place du Capitole, un décor de ce qu’on appelle « les années 30 »,

ou encore des sculptures mêlant pierre blanche et briques, rappelant que quelques riches hôtels étaient là bien avant les immeubles XIX° des boulevards ou les immeubles qui s’installent maintenant autour de la ville (quand ce n’est pas au milieu de beaux vieux immeubles… mais ça, c’était avant !)

De Saint Sernin au Capitole, et jusqu’aux bords de Garonne, levez le nez, ouvrez les yeux, prenez le temps de regarder et… rêvez ! imaginez !