Une température pile poil comme il faut pour marcher, du soleil mais un peu de vent, dimanche nous avons enfin décidé de faire la boucle Galembrun – Drudas – Galembrun toujours à notre rythme tranquille… le temps de faire des photos, de regarder, de respirer, plutôt qu’une randonnée, c’était une randonnée-balade, même si nous avons descendu, remonté, redescendu, remonté et re, re, re… pas mal de côtes !
Point de départ : le champ voisin, pour rattraper la route . Vous connaissez bien la vue 😉

Après avoir passé le Marguestaud, au bas de la route, nous avons pris le « chemin des diligences ». Il semblerait qu’autrefois ce chemin, qui longe le bois de Galembrun, passe au milieu de champs, retrouve un autre bois, arrivait à Naples, puis continuait jusqu’à Beaumont de Lomagne, mais je ne suis pas certaine de bien me souvenir de mes informations… Nous avons bifurqué bien avant d’arriver à Naples, à Tourguil, puisque nous allions à Drudas.













Quelques images du village de Drudas, portes, fleurs, maisons…





Encore quelques mètres sur la route, et nous prenons le chemin d’Aubépine. Un chemin de randonnée ouvert par l’association de Drudas « Aubépine ». Chemin qui a assez souffert du confinement… et aurait bien besoin d’une remise en état ! Mais il y a de beaux passages sous des « tunnels » d’arbres, on y rencontre quelques épouvantails au milieu de champs… et on retrouve la route devant le bois de Galembrun.



Nous repassons au-dessus du Marguestaud, avec côté « amont » une lumière étonnante, fantasmagorique presque… et nous revoici au point de départ, le champ des voisins !


Tout au long de cette balade, ciel bleu et nuages nous ont accompagnées…






Mais vous vous doutez bien qu’il y a aussi eu des arrêts pour les fleurs sauvages, les papillons, et autres trouvailles… ce sera pour une autre page !
Merci à Guillemette ( https://www.guillemettesilvand.fr/ ) pour ses photos, celles où je suis !
Le château de Drudas (18ème et 19ème siècles) était la résidence d’été de la famille de Rességuier dont le fondateur, François-Marie-Louis, fut président du Parlement de Toulouse à la fin du 18ème. Belles façades, qui (à mon goût) sentent trop le neuf 😉 . Contrairement à hier au château de Larra, nous entrons dans les pièces de réception du château, grâce à Floriane B., adjointe de direction de ce château-hôtel de charme (et de luxe). Carrelage d’origine, magnifique briques, une belle montée d’escalier (dommage, pas assez de recul pour les photos…), parquets, bref une restauration haut de gamme qui a souhaité garder tous les éléments remarquables du bâtiment. Il faut avouer que le « parc » du château n’est pas un grand parc, c’est le moins qu’on puisse dire… mais les cèdres sont superbes. Pour davantage de détails :